Jacques Rouveyrollis

Jacques Rouveyrollis

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Jacques Rouveyrollis signe en 1965 ses premières conceptions de  lumières avec « Les Jelly Roll », puis il rejoint Michel Polnareff pour huit années. Depuis, il  diversifie ses créations du spectacle vivant aux plus  grands événements. De Joe Dassin à Barbara, de Johnny Hallyday à Charles Aznavour, de Serge Gainsbourg à Michel Sardou, ce sont plus d’une centaine d’artistes et de nombreux producteurs de   spectacles qui ont fait appel au magicien de l’ombre et de la lumière !

En 1983, il crée les lumières du Festival de Wallonie, à Liège. Puis s’enchaînent Le Festival « Juste pour Rire » à Montréal, « Le Printemps de Bourges » et les « Francofolies de La Rochelle » .  De la chanson à la comédie musicale, il n’y avait qu’un pas que  Jacques Rouveyrollis se devait de franchir. « Le bonheur » sera le début d’une série de collaborations avec les plus grands metteurs en scène,  les grands  noms de la chanson et des décors magnifiques. Au théâtre, il débute en 1983 grâce à la rencontre de Jean-Luc Tardieu qui fait appel à son talent pour « Cocteau Marais ». Des centaines de  pièces se succèdent. Jacques est récompensé par deux « Molière » pour les lumières de « A tort ou à raison » et « La boutique au coin de la rue ». Pour le plaisir de la diversité, il éclaire également des opéras dirigés par les plus grands chefs d’Europe : « Filius Hominis » en 1989 à Rome, « Jeanne d’Arc au bûcher » à Buenos Aires en juillet 2000, « Carmen » au Stade de France, « Mireille » aux Chorégies d’Orange en 2010. Des ballets complètent aussi ses créations.

« La lumière donne la vie ». Aussi, Jacques Rouveyrollis multiplie ses conceptions lumières sur tous les continents  et dans des lieux très divers : La Concorde à Paris en 1979, Houston, La Défense, La Tour Eiffel avec Jean-Michel Jarre, le Trocadéro, le Port de Tokyo, les Invalides, le Cadre Noir de Saumur, le Parc des Princes, le Stade de France, Los Angelès, Le Stade de Santiago du Chili, la Tournée des Stades de Johnny. Tel un peintre, il habille de ses tableaux les plus grands édifices : Café de Paris à Monte Carlo, la Cité médiévale de Sarlat, le Centre Georges Pompidou, les 120 ans de la Tour Eiffel. Il signe la direction photo d’une centaine de vidéos ou de programmes de télévision : des « Droits de l’Homme » au Trocadéro à « Johnny Hallyday à la Tour Eiffel ».

A l’Opéra national de Montpellier, Jacques Rouveyrollis, a mis en lumières La Belle Hélène en décembre 2011.

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